C’était
le 19 septembre 2017, depuis New York. Usant avec doigté d’un faux lapsus révélateur,
Emmanuel Macron nous annonçait la fin prochaine de …. l’état de droit en France.
Avant de se reprendre, sourire narquois de l’initié aux lèvres, et de feindre
de corriger en … fin de l’état d’urgence.
La
communication de ce banquier d’affaires, ancien associé de l’institution privée
ayant depuis près de 250 ans la mainmise sur l’occident, n’est jamais sujette
aux approximations et aux lapsus. C’est une communication froide et maitrisée,
sachant jouer sur plusieurs registres en orfèvre. Macron n’est pas, n’a jamais été
un politicien, mais un spécialiste de haut vol du haut de bilan. C’est-à-dire
un manipulateur magicien des chiffres et des techniques les plus opaques,
connaissant l’art et la manière d’habiller le réel à sa guise et de faire
rentrer un chameau dans le chai d’une aiguille.
Ce qu’on
nomme les dérapages, les provocations et les petites phrases de cet être froid n’en
sont pas, n’en ont jamais été. Celui que Michel Onfray qualifie dans un
excellent texte récent de brute est un serpent dénué de sensibilité qui tel un
iguane ou un Zelig sait prendre la forme et la couleur adéquate tantôt pour
passer entre les mailles du filet tantôt attirer à lui l’attention. Voire, cela
fait partie de la panoplie, attiser la haine.
Avoir
pour mission de casser le pays que l’on préside et de le faire aussi vite que
possible nécessite bien des talents que le fondé de pouvoir de la dynastie
Rothschild possède et maitrise admirablement. Cent fois dénoncée, sa personnalité
de type enfant roi brutal et arrogant n’est rien d’autre qu’une panoplie, une
parmi d’autres. Les mots malheureux envers les français sont une technique
servant les intérêts de ceux qui le financent et l’ont choisi : l’homme a l’art
et la manière d’attirer l’attention sur lui et sur ce qu’ il dit pour noyer le
poisson tout en excitant les poissons à l’intérieur du bocal. Stratégie du
poulpe lanceur d’encre, permettant pendant ce temps-là de discrètement vendre
les Aéroports de Toulouse puis de Paris à des intérêts étrangers. Tandis qu’on glose
sur ses troubles amitiés et les louches contrats de l’ami Benalla, les
financeurs, eux, vendent à qui en veut la totalité de leurs actifs et préparent
en coulisses un krach qui encore plus qu’en 1929 remettra les compteurs à zéro à
leur avantage.
Avoir
un pantin surdoué capable de focaliser l’attention sur sa personne et sur ses
gesticulations permet aux scénaristes de faire ce qu’ils veulent en coulisses.
Les gens, affublés de couleurs allant du jaune fluo au rose et au bleu en
passant par le rouge, s’étant transformés en une boite de crayons de couleur et
la France en défilés pastel, ceux qui tirent les ficelles, trop heureux de ces
diversions manipulées de A Z, déroulent gentiment leur plan.
Macron,
malicieusement, nous avait en amont avertis à mi- mots, lesquels furent comme
souvent compris de travers. Il voulait ré-enchanter la politique, c’est-à-dire l’annexer
de fond en comble à la haute finance. Ce qui pouvait rester de noble dans cet
art de l’entourloupe qu’est le combat politique avec lui s’est comme volatilisé.
On assiste dorénavant au triomphe de la règle à calcul et des éléments de
langage des vendeurs d’actifs, le tout basé sur une fausse science qui fait loi,
l’économie financière, dont à la fois les plus grands théoriciens, les axiomes,
les données chiffrées et les directives, tout ça est en toc, aussi fumeux que la
sincérité des comptes des multinationales, une pure construction de l’esprit ou
on fait dire ce qu’ on veut à des chiffres truqués.
Celui
qui tient la réserve a intérêt à ce que la dette demeure pour encaisser les intérêts :
voilà le mantra numéro un qui trône en tête du tableau de bord d’Emmanuel
Macron. Le reste ne fait pas partie de l’équation. Pas plus le pouvoir d’achat
que l état de droit, ces empêcheurs de palper tranquilles à l’étage supérieur
du Titanic.
Donc
– faisons-lui confiance, lui, le plan des Rothschild, il l’avait bien avant de
franchir le seuil de l’Elysée -, l’état de droit n’est plus, ou plutôt bientôt ne
sera plus qu’un souvenir. Contrairement à ses dires, et ce selon sa propre
politique, ses propres forces de l’ordre, il les emploie non pour maintenir l’ordre
mais bien pour réprimer. C’est-à-dire créer ex nihilo une violence sans risque
pour lui et les siens, compte tenu de sa mainmise sur tous les pouvoirs
corrompus qui sont à sa disposition. Y compris le pouvoir de détourner le sens
des mots et de générer par sa parole même de la violence par moult
provocations. Parle de foule haineuse, appelle-les Jojo, et tu crées de fait un
Jojo qui, ainsi insulte, ressent de la haine et la redistribue comme un
automate.
En effet, le démon et les patrons peuvent en être fiers !
RépondreSupprimerLa suite a venir est prévisible c'est le pire et la chute infernale vers encore plus de décadance pour l'humanité !
Triste monde finalement sa fin (dont diverses prophéties en donnent des apercus) sera son salut, a défaut d'autre chose concrete reste plus qu'a etre mystique !
Je ne connais Chritophe Clos Houplon que depuis peu, je le suis main tenant sur twitter n'étant pas encore perso sur Facebook. Je le publie dorénavant sous le titre "le petit déj du jour sur l'actu" par" Nostradamus St Christophe Clos Houplon". Génial mon gars, continue...
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