La procréation médicalement assistée sera-t-elle
remboursée pour toutes les personnes de sexe féminin, sans considération de
leur orientation sexuelle ni de leur fertilité ? La réponse est oui, a répondu
Marlène Schiappa ce 15 novembre.
Donc la collectivité va payer à terme pour que des
femmes, hétérosexuelles ou lesbiennes et ce quels que soient leurs revenus
aillent subir une intervention couteuse pour procréer.
L’adoption on oublie. Le copain homo avec qui les lesbiennes
jusque-là procréaient, ce qui offrait un père biologique présent et deux
mamans, ou plutôt une mère et l’amie de la mère, ça aussi on oublie. Les
solutions pour que ces femmes voulant un enfant en aient un existent déjà mais
en dehors du marché et du fric. Avec la PMA fini tout ça, business is business.
Parce que ça coute et donc ça rapporte. Les médecins qui procèderont
à une PMA recevront des sous et la collectivité paiera. La collectivité qui à côté
donnera moins – eh oui c’est lié ! – à des personnes âgées démunies pour
des soins de base. Parce que les plus démunis eux ça n’intéresse pas le marché,
pour eux, moins de remboursements, moins d’hôpitaux de proximité, moins de lits
à l’hôpital public, des déserts médicaux, les EPHAD et ce qu’on sait.
Donner un droit à peu pour ôter beaucoup à la multitude,
celle qui est le plus en manque. Astuce de nos financeurs, qui reprennent deux après
avoir donné un et a beaucoup moins. Se font passer pour des bienfaiteurs au
passage. Grugent les homos et les instrumentalisent, lesquels pour beaucoup, ne
s’intéressent qu’à leur nombril et donc à de nouveaux droits, de nouveaux
cadeaux de l’état. Ca râle chez les LGBT parce que Macron a reculé la PMA de …
six mois ! J’exige mon bonbec pour maintenant, crient les LGBT immatures.
Et la vieille dame sans ressources, on en parle quand !
C’est ta grand-mère, nénette, alors tes caprices de princesse enfant gâtée qui veut
son gosse gratos, BASTA !
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