Emmanuel Macron, Fondé de Pouvoir de cette la Banque
Rothschild qui avait cofinancé la Première Guerre Mondiale puis la seconde, s’en
va commémorer la fin de la première, cet armistice conduisant à la ruine du
perdant, l’Allemagne, à son adhésion à Hitler en 1933, financé lui aussi par
les mêmes, puis à la Seconde Guerre Mondiale. Autour, toutes les grandes
puissances et les dirigeants de ce monde.
Donald Trump, représentant d’un des deux vainqueurs de la
Seconde et se posant comme le seul, à peine un pied posé sur le sol français qu’il
tweete contre la prétention de Macron à créer une armée continentale – du chiqué,
elle existe déjà.
Il faut dire que l’hôte, en mentionnant que cette armée
pourrait aussi se protéger des USA, est allé loin dans la formule Pinocchio.
OTAN lui rappelle Trump, tu paies quand cette protection qui asservit ton
peuple et le met sous notre joug. L’autre, son duettiste, rétropédale, comme
toujours, et dit l’inverse de ce qu’il annonça la veille.
Trump du coup boude le raout pro paix de son copain, puis
annule sa visite au cimetière américain du bois de Belleau du fait des conditions
météo. Son parcours du combattant se sépare entièrement de celui du président français.
Merkel, la chancelière de l’Empire mis à terre, s’en va
accompagner le petit monarque dans cette clairière ou fut signé cet armistice
qui mit les allemands à terre et les ruina. Bel exemple de patriotisme et de solidarité
avec les générations concernées que cette présence, la première en ces lieux.
La clairière de Rethondes, dans la forêt de Compiègne, avait
été choisie pour son isolement par le Maréchal Foch.
L'objectif ? Eviter une humiliation des généraux allemands signataires de
l'armistice. Une précaution bien inutile pour Hitler, qui s'est empressé
d'aller faire chercher le fameux wagon pour y signer un autre armistice, celui
du 22 juin 1940 cette fois. Le symbole de la victoire française devenait celui
des conquêtes allemandes.
Le 11 on retrouve tout notre Etat-major fêtant les huit Maréchaux
triomphateurs moins un, Philippe Pétain. On honore en grande pompe huit généraux
faits maréchaux ayant tous pronostiqué que la guerre de 14/18 durerait trois
mois, qui ont donc laissé leurs troupes s’embourber puis mourir par centaines
de milliers dans les tranchées durant quatre années interminables – une génération
décimée ça se fête ! Puis ont mis à terre leur ennemi et donc créé de fait
Hitler ou tout du moins les conditions, par retour de balancier, de son
accession au pouvoir.
Cela en effet, cette succession d’erreurs funestes, méritait
bien une commémoration puis une conférence pour la Paix dans le Monde face à des
dirigeants actuels, belliqueux comme jamais.
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