«Les
déclarations concernant l’affaire de l’Aquarius
venant de la France sont surprenantes et démontrent un sérieux manque
d’informations sur le contexte réel. L’Italie ne peut accepter de leçons
hypocrites de pays», a expliqué le chef
du gouvernement italien Giuseppe Conte le 12 juin.
«La
France et l'Espagne ont fermé leurs ports depuis longtemps [...] Il est
embarrassant que des représentants de ces pays viennent faire la morale
seulement parce que nous demandons à nos partenaires européens de partager avec
l'Italie les droits, les devoirs et la solidarité», avait pour sa part estimé
Luigi Di Maio (Mouvement 5 étoiles). «Le pays le plus en tort par rapport à
nous, c'est la France, qui n'a pris jusqu'à présent que 640 migrants quand elle
s'était engagée pour 9 610 personnes »
Le ministre de l'Intérieur Matteo Salvini (Ligue),
en première ligne dans la crise migratoire et dont il a fait de sa
jugulation une promesse de campagne, a, lui, directement tancé Emmanuel
Macron : « Au président français je dis, "Emmanuel, si tu as le cœur aussi
gros que tu le dis, demain nous te donnerons les 9 000 migrants que tu t'étais
engagé à prendre ».
Pinocchio-Petit-Bokassa 1er s'est fait
prendre par trois revers à la suite de ses petites lecons de morale à deux euros
six sous. Le monarque de l'Elysée
aime l'ingerence dans les affaires d'autrui sans jamais penser à mettre le
nez dans ses propres affaires, et se fait régulièrement remettre à sa place de
bonimenteur spécialiste d'entourloupes à la Rothschild.
Sur la question migratoire il est vrai que notre
Pinocchio a abusé du rail, l'intérieur
de son long nez en est devenu tout irrité. Non content de se renier sur le nombre d'accueillis,
de faire rejeter les entrants à Vintimille et de superviser une des politiques d'accueil –
entre guillemets – les plus inhumaines d'Europe – et a ce titre dénoncées
de toutes parts -, le grand ami de Mamadou Super Malien nous ridiculise une
nouvelle fois. Les ritals – ce gouvernement en poste depuis une semaine – le
mettent en slip et lui passent goudrons et plumes en public. La honte.
Le poulbot n'en étant
pas à une près, il pérorera encore et toujours. La banque d'affaires a
remis quelques euros dans le cochonet, Bribri a déplacé
la marionnette sur un nouveau castelet, lui a distribué son nouveau texte, l'a fait répéter
la veille, l'a maquillée et poudrée. Comme le chantait Gainsbourg, Emmanuel aime les
carresses bucales et manuelles, et a besoin de sa dose de je t'aime … menstruelle…
L'ennui est que ces récurrentes humiliations d'un matamore n'ayant pas même le niveau
maternelle en diplomatie tellement son ego d'enfant roi créée dix bugs la semaine retombent sur la réputation de ce grand pays qu'il préside – o combien mal. Il n'y a guère qu'à l'école devant
Jean-Pierre Pernault qu'il soit à sa place, c'est-à-dire sur TF1, ou aux cotés de son pote Cyril Hanouna. Bébé
Attali 2008, le Macaron 2017-2022 est hélas l'enfant têteur de Loft Story, de The Voice et de Nabilla, un bleu, un fat, un
pantin, un ectoplasme craneur aussi vide qu'une noix de
cajou.
A peine éclos
à Amiens que l'à-peine pubère s'en allait déjà tater le sein de sa prof de théatre, un lait jésuite
à la sauce bancaire, un breuvage de gérontophile à la mode pourri-moche, juste de quoi émouvoir les lectrices de Levy et Musso, ces bonnes
dames aux jambes pleines de vergétures
scarifiées par les scalpels de chirurgiens surpayés. Ce macaron frelaté vendu en boite sur les devantures de La Diarrhée, d'entrée
de jeu, à quinze ans, sentait déjà la
naphtaline.
Et c'est ca – le perdreau old school de ces fats de
puissants – qu'ils nous ont imposé,
et c'est ce truc qui tous les deux jours lache ses pêts comme d'autres des
oracles, le fessier imberbe calé
sur un fauteuil Louis XV, avec son nez d'aigle à la Nabot-Léon et son regard bleu tranchant.
Puant de mépris, inculte à un point tel que ne pas éclater de rire au moindre de ses discours équivaut à un suicide intellectuel. Pédant comme un fayot et fayot comme la pire des
chochottes, le roitelet du CAC, reflet transparent d'une galerie
de glaces à la vanille, dépose tel un
chat ses phéromones aux quatre coins du pays et du monde, lache
ses petits pipis mensongers, ses petites crottes rectangulaires, ses petites
sentences bas-de-plafond, ses petites admonestations made in ENA. Et se fait régulièrement foutre en slip et la bite au cirage en
conservant un air de niais comme si on lui passait de la pomade. L'égo d'égout n'a aucun sens
de l honneur, et le nombril de son propre monde aucun épicentre, tout dépendant du cordon ombilical matrimonial sur lequel il
tire comme un forcené.
Un bain de plasma au jasmin – tel est le bain de
nuit que s'octroie ce Valmont de pacotille qui aime tant et tant les migrants que
l'idée même d'en accueillir un à demeure ne
lui traverserait meme pas ce courant d'air qu'il appelle son esprit.
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