«Qui
êtes-vous pour parler de médiation entre la Turquie et une organisation
terroriste ?», a lancé le chef de l'Etat depuis la capitale turque. « Nous
n'avons pas besoin de médiation. Depuis quand la Turquie veut-elle s'asseoir à
la table d'une organisation terroriste ? D'où avez-vous sorti cela ?», s'est
emporté Erdogan en ciblant le petit maitre blanc de l'Elysée.
La
poupée Rothschild persiste à se revêtir des habits du colon version Agenda 21
et à vouloir jouer à Tintin le Médiacrate
Médiateur aux quatre coins de la planète. A chaque fois le meme baratin, je me
pousse des coudes pour prendre la place centrale sur l'affiche, je
sur-communique, je feins d'ignorer des données cruciales du problème que je
suis censé contribuer à résoudre, et je fais évidemment l'impasse sur toutes
les arsouilleries diplomatiques gauloises auxquelles je fais plus que
contribuer.
De
quoi je me mêle, lui a rétorqué le leader turc, commencez déjà à cesser vos
compromissions avec Daesch et filiales et demandez à Le Drian d'appeler un chat
un chat.
Ce
n'est pas que je tiens Erdogan pour un pur et un mec droit, mais lui au moins
il sait ou il habite et ce n'est pas pour des puissances étrangères qu’il
roule. Qu’une part de son peuple veuille faire sécession et reprendre à son
compte une partie du pays qu’il dirige, je comprends qu’il soit quelque peu
remonté. Un peu comme si demain les normands et – au hasard – les basques nous
faisaient le coup et que les turcs venaient nous dire, bon allez, filez-leur ce
qu’ils veulent ils sont gentils c'est nos amis.
Cette
diplomatie mode gribouille nous ridiculise chaque jour davantage. On ne compte
pas les échecs français depuis dix mois, l'autre jour c'était Le Drian
contraint de rebrousser chemin en Iran, échec sur toute la ligne et visite
Macron annulée unilatéralement par Téhéran. Trump à coté s'en sort mieux,
certes ils sont un paquet à lui faire la morale mais au moins le shérif US ne
se fait nulle part humilier.
Les
contorsions à la Rothschild sont sans doute efficaces dans le monde feutré des
affaires, mais dans le grand jeu diplomatique les grosses ficelles des
entourloupeurs de métier ca ne passe pas. On peut certes ruser mais à un moment
chacun met toutes les cartes sur la table et on avance à compter de ca. Or dans
la logique du Monarc par définition ce que j'ai dans la main est sous la table.
Avec pareille déformation comment voulez-vous que la parole de la France soit
entendue autrement que dans le marigot de Bruxelles.
Nous
sommes dirigés par un bleu qui brille seulement chez les nantis mais dont
ailleurs on voit au travers. Christophe Barbier fait des gorges chaudes dix
fois par jour et s'essuie dans sa grande écharpe rouge tandis que les qui en
ont dans le pantalon éclatent de rire devant les bêtises de ce freluquet.
Fatuité, sottise, amateurisme, le tout dans un style AB Production, c est ca la marque Macron.
Quand le monde virtuel d'Emmanuel Macron se heurte au monde réèl des dirigeants de la planète....
RépondreSupprimer"Faut il laisser vagabonder sa marionnette comme cela dans la nature ?" se questionnent en ce moment les représentants de l'oligarchie sioniste française ...
Comme quoi, en politique comme ailleurs, c'est toujours impossible d'avoir, en même temps, le beurre et l'argent du beurre !
JOLIE !!
RépondreSupprimer