Article de
Digwithin, le blog de Kevin Ryan, mis en ligne le 27 août 2017, traduit
par Christophe G.
Les crimes du 11 septembre 2001 (9/11) remontent à
16 ans. Dans cet intervalle, des faits ont été révélés qui ont porté plus
d’un tiers d’Américains à croire que le gouvernement des
États-Unis était impliqué dans les attaques. Ce blog a recensé 14
parmi ces faits inimaginables* pour le 14e anniversaire
des crimes. En voici 16 de plus.
1.
Pendant les neuf années précédant 9/11, le Federal
Bureau of Investigation (FBI) a pitoyablement échoué à prévenir le terrorisme.
Il existe de nombreux cas où le FBI, alors sous la
direction de Louis Freeh*, a facilité et couvert des
actes de terrorisme pendant cette période. Après 9/11, le Bureau a pris des
mesures extraordinaires pour cacher des preuves liées aux attaques.
2.
Sous la direction de George Tenet, la Central
Intelligence Agency (CIA)* a aussi échoué dans ses
tâches de contreterrorisme, échecs qui apparaissent intentionnels. De même que
Freeh, Tenet a élaboré des axes secrets de communication avec les autorité
saoudiennes. Les faits suggèrent que Tenet facilita les crimes de 9/11.
3.
FBI comme CIA se
sont moquées* de la justice des États-Unis pour ce qui concerne
9/11. Tout en étant suspectes d’y être impliquées ces administrations ont
accusé d’autres personnes des crimes, à l’aide de preuves secrètes, dans un
tribunal militaire secret. Les accusés ont été détenus près de 15 ans, tandis
que des agents du FBI et de la CIA tentaient de s’introduire parmi leurs
défenseurs, afin d’assurer un contrôle complet de leurs dépositions.
4.
Des membres de la CIA responsables de
l’identification des tromperies, n’ont pas remarqué les caractères
patents de tromperie* dans les réponses de représentants
gouvernementaux à des questions sur 9/11.
5.
Quatre
récits officiels distincts* ont été donnés sur la
manière dont le North American Air Defense (NORAD) a échoué dans l’interception
des avions détournés. Selon le dernier récit, des militaires par dizaines,
pendant des années, ont menti au Congrès, à la Commission de 9/11 et à tout le
monde, d’une manière salissante pour l’armée. Bien peu d’observateurs ont
considéré la plus simple explication selon laquelle la Commission de 9/11 a
menti afin de détourner l’attention de nombreuses questions épineuses.
6.
Certaines parties du récit officiel de 9/11 sont
basées sur le très improbable chemin de navigation aérienne d’un avion
cargo militaire* du nom de Gofer 06. L’équipage de
cet avion a été témoin des crashes de deux des quatre avions ce jour-là, bien
que ceux-ci aient eu lieu à 127 miles, moins de 30 mn, l’un de l’autre.
7.
Des dizaines
de questions demeurent sans réponse* à propos
des événements du Pentagone et de l’avion qui s’y est écrasé selon les
reportages.
8.
Les 19 jeunes gens accusés moins de 72 heures après
les attaques étaient connus pour aimer les bars à strip-tease, l’alcool, la
drogue et autres activités clairement non
musulmanes*. De plus, ces suspects étaient incapables
d’accomplir l’essentiel de ce qu’il fallut pour la réussite des crimes.
9.
Mohamed Atta, que l’on a appelé le "chef de la
bande de 9/11", avait beaucoup
en commun* avec Lee Harvey Oswald —l’homme accusé du meurtre du
président Kennedy. Tous deux furent suspectés d’être usagers de drogues
interdites, semblaient protégés par les autorités, et avaient été associés avec
des entités liées à la CIA.
10.
Le New York Times a mené la
propagande soutenant l’invasion américaine de l’Irak en 2003, et a de
même mené
la propagande* soutenant la couverture des crimes de 9/11.
Il l’a fait en ignorant la plupart des faits significatifs, en promouvant les
récits officiels faux et en dévalorisant ceux qui questionnaient les événements
de 9/11.
11.
Le jour des attaques, des pompiers, des
journalistes, des survivants et des témoins
oculaires ont témoigné d’explosions secondaires dans
les bâtiments du World Trade Center (WTC). Des vidéos de ces témoignages ont
été tenues secrètes pendant des années par l’agence gouvernementale National
Institute of Technology (NIST) et publiées seulement par l’intermédiaire d’une
requête par la Loi sur la liberté de l’information (FOIA), après que
l’intérêt du public se fut éteint. Des
scientifiques ont expliqué que les tours se sont
effondrées à cause d’explosions et que l’enquête du NIST était frauduleuse.
12. Parmi les
évidences ignorées par les médias grand public, de nombreux faits indiquent
la présence
de thermite* dans le WTC. La thermite est un composé
chimique qui peut être employé pour faire fondre et découper de l’acier
structurel. Au lieu de considérer cette évidence les soutiens du récit officiel
se sont compromis dans la tromperie et le détournement d’attention afin
d’obscurcir les faits.
13. Malgré de récentes
protestations mondiales contre l’emploi abusif de la science, le plus
criant exemple* de pseudoscience à fins politiques continue
à être ignoré par de nombreux scientifiques. C’est la conséquence de sept ans
d’explications contradictoires fournies par les enquêteurs du gouvernement
américains, à la destruction des immeubles du WTC.
14. Des liens entre
9/11 et l’attentat à la bombe d’Oklahoma City de 1995 mènent à des questions
sur la société qui contrôlait la sécurité pour de nombreuses installations
touchées par 9/11, dont le WTC. Par exemples, la société de sécurité du WTC
partageait le bureau
de l’aéroport d’Oklahoma City plus tard occupé par
l’éducateur de vol de Zacarias Moussaoui, le supposé "20e"
pirate de l’air.
15. Les médias et
certains représentant gouvernementaux ont fait allusion à des liens de l’Arabie
saoudite aux crimes de 9/11. Quoi qu’il en soit, ces allusions oublient
toujours les rapports
les plus intéressants* entre les attaques de 9/11 et l’Arabie saoudite
—rapports qui impliquent des personnalités puissantes des États-Unis.
16. Quand les 28 pages
longuement attendues, qui manquaient au Rapport de l’enquête du Congrès sur
9/11 furent enfin publiées, elles
ont renforcé* les soupçons selon lesquels des acteurs de
l’État profond étaient impliqués dans les attaques. Parmi ces acteurs, Wirt D.
Walker, président-directeur général de la société de sécurité du WTC, est clairement
associé* à des opérations classées top secret.
Tandis que les
crimes de 9/11 demeurent irrésolus et très peu examinés, les Américains
devraient savoir qu’un autre 9/11 pourrait arriver à tout moment. Si cela se
produit, chacun devrait réaliser que la persistance à ne pas s’interroger sur
l’évidente tromperie dans le terrorisme pourrait mener la société dans des lieux
où la liberté de poser des questions n’est plus une possibilité.