dimanche 26 février 2023

L'enfance trouble de Vladimir Poutine (un article de Sandrine Cabioch)


En Russie et en Géorgie, des journalistes sont convaincus que l’enfance de Poutine jusqu’à ses neuf ans est dissimulée au grand public, et qu’il la nie. Je me base sur l’article « Vera Putina’s lost son », de Stefen Dobbert, de mai 2015 , article qui suite à mes 1ères diffusions a été rendu inaccessible aux non abonnés. En Allemagne de l’Est l’affaire est connue, mais interdite. Il a passé la moitié de son enfance en Géorgie, il est géorgien et non russe : ce qui pourrait expliquer son indifférence à provoquer ses false flags sur la population russe, ou à laisser couler 118 marins russes dans le Koursk.


A son arrivée à la tête du KGB il a commencé à renier sa mère naturelle et réécrire son histoire pour pouvoir gagner les élections et ne pas être vu comme un enfant illégitime, ayant de plus grandi en Géorgie. En août 1999 Eltsine nomme Poutine comme 1er ministre. Décembre 1999, il devient Président par intérim. Les élections présidentielles sont pour mars.

En route vers Tbilissi, Géorgie, un reporter du nom de Artyom Borovik et son acolyte entrepreneur Ziya Bazhayev sont décidés à éclaircir sur place les rumeurs sur les origines du leader « russe », et prennent un petit avion avec un pilote expérimenté. Ils doivent rencontrer Rustam Daudov qui veut leur montrer une vidéo très compromettante pour l’élection de Poutine. A 50 mètres d’altitude, l’avion bascule à gauche et perd de l’altitude et explose sur l’asphalte, zéro survivants (4 personnes à bord). Le rapport d’investigation sera ridicule et bidonné. Le père de Borovik accuse les services secrets russes.

En janvier 2000, Rustam Daudov se rend à Metekhi à 60 km de Tbilissi et rencontre Vera Putina, qui se présente comme la mère de Poutine. Elle raconte qu’elle est tombée enceinte de Platon Privalov, qu’elle découvre par la suite déjà marié. Elle le quitte et son enfant naît le 7 octobre 1950 à Metekhi, il est baptisé Vladimir mais elle l’appelle Vova. Elle se recase avec Georgy Osepashvili, un géorgien, mais celui-ci ne veut pas de Vova. La sœur du mari de Vera envoie l’enfant de deux ans chez un vieil étranger sans enfants. Puis il ira chez ses grand-parents, et enfin selon Vera dans une autre famille adoptive à l’âge de 9 ans, Vladimir Spiridonovich Putin and Maria Ivanovna Putina, des parents éloignés à ses parents à elle, et que Poutine déclarera comme ses parents naturels. Cette famille déménage à Leningrad, et le déclare né le 7 octobre 1952 pour lui faciliter l’école (sa langue maternelle n’est pas le russe).

A Metekhi, beaucoup de villageois se remémorent Vova.

Vera raconte que le KGB a fait une descente chez elle pour lui rafler les photos de famille et lui interdire de parler de ce secret. 8 ans plus tard des reporters du Daliy Telegraph trouvent le nom de Vladimir Putin dans les archives d’une école de Metekhi.

Vera Putina va subir des analyses de sang à son domicile où se présentent deux infirmières et un policier.

On est à 7 jours de l’élection et l’intérêt pour le sujet reste vif.

Cependant les journalistes russes ne veulent plus se déplacer vers Tbilissi. Daudov décide alors de se rendre en Turquie et rencontre Murat Arvat à Istambul, l’assistant d’un CEO possédant plusieurs chaînes de télévision. Un écrit journaliste et un film doivent être réalisés, l’article sort mais le film est interrompu, à cause de Blue Stream, les russes menacent de ne plus porter ce projet de livraison de gaz à la Turquie si le film est produit, 19 milliards de mètres cube via le pipeline.

Dans sa chambre d’hôtel d’Istambul Daudov a rangé sa cassette vidéo et regarde l’élection de Poutine se dérouler à la TV, il est élu avec 52,9 % des voix.

Daudov de retour en Géorgie est contacté par Antonio Russo, un journaliste italien prêt à voyager pour voir la vidéo de Vera Putina. Ils se rencontrent, Daudov lui donne la vidéo, et le lendemain on retrouve le corps de Russo au bord d’une route les mains liées les côtes cassées les poumons blessés, écrasé par un camion, et son ordinateur, son portable et ses cassettes vidéos disparurent de sa chambre d’hôtel. Deux policiers géorgiens ayant enquêté sur cette mort furent retrouvés morts également.

L’un s’est suicidé, l’autre est mort empoisonné.

Le 7 septembre 2003, un autre corps est retrouvé dans le centre ville de Bakou, 5 balles dans le corps tirées à faible distance. C’est le corps de Rustam Daudov et les infos passent à la télévision.

Or, il s’avère que ce serait un autre homme peut être confondu avec Daudov, qui aurait été exécuté, et que Daudov « a reçu l’aide des États Unis pour s’exfiltrer » en Europe de l’Est.
Daudov a t-il été un appât pour des journalistes trop curieux?

Et pourquoi a t-il laissé connaître et publier une photo d’un enfant de 3 ans supposé être Vova et donnée par le frère de Georgy Osepashvili, et qui ne ressemble pas du tout à Vova?

En tous cas si l’histoire est vraie, si Vera est bien la mère de Vova, elle pourrait expliquer la pédophilie de Poutine et son comportement borderline et criminel, ou encore la politique guerrière de Poutine contre la Géorgie.

Dans la négative pourquoi la Police n’a pas cherché à savoir qui était le fils de Vera, qui sont les parents de Poutine, pourquoi l’analyse de sang portant l’ADN n’a jamais été publiée, et surtout, surtout, pourquoi ces 5 morts ?






3 commentaires:

  1. Christophe pour info ! https://m.vk.com/video593070914_456240712?list=c8a742116a99929820

    RépondreSupprimer
  2. Qu'il ne soit pas né Russe , on s'en moque un peu . Notre gouvernement est plein de personnes d'origine étrangère . ET alors . On ne demande , ni la race de quelq'un , ni sa couleur . ..mais la compétence . Ce qui n'est guère le cas chez nous , d'origine étrangère ou Française pure .

    RépondreSupprimer
  3. Glauque glauque.
    En tous cas moins glauque que
    Le pédophile Biden et surtout
    appréciable pour son action visant les nostalgiques de Bandera.

    RépondreSupprimer