En Russie et en Géorgie, des journalistes sont convaincus que l’enfance de Poutine jusqu’à ses neuf ans est dissimulée au grand public, et qu’il la nie. Je me base sur l’article « Vera Putina’s lost son », de Stefen Dobbert, de mai 2015 , article qui suite à mes 1ères diffusions a été rendu inaccessible aux non abonnés. En Allemagne de l’Est l’affaire est connue, mais interdite. Il a passé la moitié de son enfance en Géorgie, il est géorgien et non russe : ce qui pourrait expliquer son indifférence à provoquer ses false flags sur la population russe, ou à laisser couler 118 marins russes dans le Koursk.
A son arrivée à la tête du KGB
il a commencé à renier sa mère naturelle et réécrire son
histoire pour pouvoir gagner les élections et ne pas être vu comme
un enfant illégitime, ayant de plus grandi en Géorgie. En août
1999 Eltsine nomme Poutine comme 1er ministre. Décembre 1999, il
devient Président par intérim. Les élections présidentielles sont
pour mars.
En route vers Tbilissi, Géorgie, un reporter
du nom de Artyom Borovik et son acolyte entrepreneur Ziya Bazhayev
sont décidés à éclaircir sur place les rumeurs sur les origines
du leader « russe », et prennent un petit avion avec un pilote
expérimenté. Ils doivent rencontrer Rustam Daudov qui veut leur
montrer une vidéo très compromettante pour l’élection de
Poutine. A 50 mètres d’altitude, l’avion bascule à gauche et
perd de l’altitude et explose sur l’asphalte, zéro survivants (4
personnes à bord). Le rapport d’investigation sera ridicule et
bidonné. Le père de Borovik accuse les services secrets russes.
En
janvier 2000, Rustam Daudov se rend à Metekhi à 60 km de Tbilissi
et rencontre Vera Putina, qui se présente comme la mère de Poutine.
Elle raconte qu’elle est tombée enceinte de Platon Privalov,
qu’elle découvre par la suite déjà marié. Elle le quitte et son
enfant naît le 7 octobre 1950 à Metekhi, il est baptisé Vladimir
mais elle l’appelle Vova. Elle se recase avec Georgy Osepashvili,
un géorgien, mais celui-ci ne veut pas de Vova. La sœur du mari de
Vera envoie l’enfant de deux ans chez un vieil étranger sans
enfants. Puis il ira chez ses grand-parents, et enfin selon Vera dans
une autre famille adoptive à l’âge de 9 ans, Vladimir
Spiridonovich Putin and Maria Ivanovna Putina, des parents éloignés
à ses parents à elle, et que Poutine déclarera comme ses parents
naturels. Cette famille déménage à Leningrad, et le déclare né
le 7 octobre 1952 pour lui faciliter l’école (sa langue maternelle
n’est pas le russe).
A Metekhi, beaucoup de villageois
se remémorent Vova.
Vera raconte que le KGB a fait une
descente chez elle pour lui rafler les photos de famille et lui
interdire de parler de ce secret. 8 ans plus tard des reporters du
Daliy Telegraph trouvent le nom de Vladimir Putin dans les archives
d’une école de Metekhi.
Vera Putina va subir des
analyses de sang à son domicile où se présentent deux infirmières
et un policier.
On est à 7 jours de l’élection et
l’intérêt pour le sujet reste vif.
Cependant les
journalistes russes ne veulent plus se déplacer vers Tbilissi.
Daudov décide alors de se rendre en Turquie et rencontre Murat Arvat
à Istambul, l’assistant d’un CEO possédant plusieurs chaînes
de télévision. Un écrit journaliste et un film doivent être
réalisés, l’article sort mais le film est interrompu, à cause de
Blue Stream, les russes menacent de ne plus porter ce projet de
livraison de gaz à la Turquie si le film est produit, 19 milliards
de mètres cube via le pipeline.
Dans sa chambre d’hôtel
d’Istambul Daudov a rangé sa cassette vidéo et regarde l’élection
de Poutine se dérouler à la TV, il est élu avec 52,9 % des
voix.
Daudov de retour en Géorgie est contacté par
Antonio Russo, un journaliste italien prêt à voyager pour voir la
vidéo de Vera Putina. Ils se rencontrent, Daudov lui donne la vidéo,
et le lendemain on retrouve le corps de Russo au bord d’une route
les mains liées les côtes cassées les poumons blessés, écrasé
par un camion, et son ordinateur, son portable et ses cassettes
vidéos disparurent de sa chambre d’hôtel. Deux policiers
géorgiens ayant enquêté sur cette mort furent retrouvés morts
également.
L’un s’est suicidé, l’autre est mort
empoisonné.
Le 7 septembre 2003, un autre corps est
retrouvé dans le centre ville de Bakou, 5 balles dans le corps
tirées à faible distance. C’est le corps de Rustam Daudov et les
infos passent à la télévision.
Or, il s’avère que ce
serait un autre homme peut être confondu avec Daudov, qui aurait été
exécuté, et que Daudov « a reçu l’aide des États Unis pour
s’exfiltrer » en Europe de l’Est.
Daudov a t-il été un
appât pour des journalistes trop curieux?
Et pourquoi a
t-il laissé connaître et publier une photo d’un enfant de 3 ans
supposé être Vova et donnée par le frère de Georgy Osepashvili,
et qui ne ressemble pas du tout à Vova?
En tous cas si
l’histoire est vraie, si Vera est bien la mère de Vova, elle
pourrait expliquer la pédophilie de Poutine et son comportement
borderline et criminel, ou encore la politique guerrière de Poutine
contre la Géorgie.
Dans la négative pourquoi la Police
n’a pas cherché à savoir qui était le fils de Vera, qui sont les
parents de Poutine, pourquoi l’analyse de sang portant l’ADN n’a
jamais été publiée, et surtout, surtout, pourquoi ces 5 morts ?
Christophe pour info ! https://m.vk.com/video593070914_456240712?list=c8a742116a99929820
RépondreSupprimerQu'il ne soit pas né Russe , on s'en moque un peu . Notre gouvernement est plein de personnes d'origine étrangère . ET alors . On ne demande , ni la race de quelq'un , ni sa couleur . ..mais la compétence . Ce qui n'est guère le cas chez nous , d'origine étrangère ou Française pure .
RépondreSupprimerGlauque glauque.
RépondreSupprimerEn tous cas moins glauque que
Le pédophile Biden et surtout
appréciable pour son action visant les nostalgiques de Bandera.