Jean Quatemer, ci-devant correspondant à plume du journal
Libération, propriété de l’homme d’affaires patriote bien connu Patrick Drahi,
et par ailleurs champion national du record de subventions versées par l’Etat,
en clair nos impôts, s’en est allé sur son compte Twitter insulter ceux qui
depuis des lustres lui paient un salaire de ministre, en traitant les gentils
manifestants de la journée de blocage du 17 novembre, je cite, de beaufs
inscrits à l’extrême droite.
Pour un bobo plumitif d’un quotidien qui incarne mieux
que tous les autres la bonne conscience dite de gauche, beauf et extrême
droite, c’est coup double, la pire chose qui soit, un plouc doublé d’un
raciste. Sa Majesté Quatemer, tout le contraire d’un nanti, ne fait pas dans le
détail et amalgame tout en un, qu’il double-étiquette à la sauce infamie. Le
journaliste parle de français qu’il ne connait point, car le temps dans sa rédaction
et dans les grandes tables parisiennes ne lui laissent pas de créneau pour
aller à leur rencontre. Sa place au Siècle et sur nos antennes non plus, l’homme est aussi débordé que sur de lui.
Sa Sommité Précieuse Ridicule, ci devant grand
correspondant a fait une école de journalisme. Dans les écoles de journalisme
il n y a point de bibliothèque. Un livre c’est dangereux, parfois, ça peut
aider à penser par soi-même, certains d’ailleurs sont faits pour ça. Affranchir
le lecteur. Lui apprendre à quitter le conformisme. Le journaliste, lui, le
conformisme et la norme sont son quotidien. Il apprend à penser dans des cases
avec un nombre de caractères imposé d’avance, et selon une grille de lecture
avec plusieurs cases, de l’extrême gauche à l’extrême droite en passant par l’extrême
centre. Une liste limitée. Limite donc à la racine dès sa formation initiale et
sur le fond et sur la forme. Le journaliste du type Quatemer est un perroquet
Powerpoint qui pratique dans ses éditos ce qui s’appelle de l’idéologie et de
la propagande. Ne pense pas, lecteur, je m’en charge, je t’amène par la main
dans l’enclos de cette non pensée dont je noircis les journaux et dont je fais
des phylactères qui se regardent le nombril à la télévision.
Donc Quatemer, obligé d’un affairiste d’un genre tout à
fait particulier, qui comme tous ses confrères émarge au Siècle en brandissant
son panneau INDEPENDANCE et refuse l’étiquette de chien de garde du système qui
le nourrit sur fonds publics fort bien, insulte des français qu’il ignore,
auquel il a la prétention d’apprendre comment penser et à qui il tend des
miroirs déformants, ceux que ses propres lunettes visières créent de toutes pièces
sur injonction patronale. Le tout pour un salaire mirobolant et une place à la
Cour de Versailles, celle du film Ridicule.
La cocotte de Libé-ration ou Ration-d idée, tant la
moindre pensée dans ce canard y fait défaut, s’étonne ensuite que sa
provocation en guise de crachat sur les réseaux lui revienne en boomerang, et
manie le copie d’écran, en bon lâche, histoire d’enfoncer encore plus ceux qu’il
méprise autant qu’il les ignore. Le gars vit hors sol depuis trois siècles, qu’un
gueux ose, ca, sa Majesté Duchesse des Elégances Républicaines a quelque mal à
le croire et à l’entendre.
Pas grave on va l’y aider !
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