J'écris comme je vis, c'est à dire intensément. Je n'écris jamais que quand c'est absolument nécessaire. J'écris pour jeter des ponts vers les autres. Je ne recherche aucune notoriété.
dimanche 26 août 2018
Paroles du Christ - Tout est possible à celui qui croit
Tout est possible à celui qui croit …
Pour celui-là point d’horizon bouché, d impasse, de plafond, mais au contraire l’infini, le démultiplié, la concrétisation ici-bas de ses plus beaux rêves d’enfant. Car la foi, pas la foi en soi, mais la foi en tant que telle, la foi pure, la foi brute, permet de rompre le fil de l’impossible et d’exploser les limites. Vois, visualise par ta foi et par la force de ta prière cette étoile, et tu verras, une force surhumaine te soulèvera du sol et t’y conduira.
Il n y a pas de limite pour celui qui croit, pas de résistance, pas de peur, pas de ces cages en verre ou en plasma qui enferment l’être sous un dome aliénant, mais bien un essor, un mouvement intérieur qui soulève et fait se soulever les monts et les montagnes et faire gravir en quelques enjambées des cols réputés infranchissables. Par la seule force de sa pensée conjuguée de sa foi, l’être se révèle dans sa divinité la plus incroyable, celle auxquels les incroyants n’auront jamais accès, et réalise de son vivant ce que d’aucuns nommeraient l’impossible. Ainsi est l’équation originelle, celle de la genèse, lorsque d’un geste d’amour le créateur remit en toute confiance le trousseau de clefs à sa créature, lui disant, va, vis et deviens. Et élève-toi vers moi.
Nous avons dés-appris à croire, à croire en lui comme en nous-mêmes, et nous nous sommes dessoudés de notre socle, un socle fait d’ailes et de plumes qui au vent entrainent l’enveloppe charnelle et la font tournoyer dans les airs jusqu’à caresser les nuages. Et toucher les étoiles du bout de nos doigts en or.
La pensée créatrice gorgée de foi est telle un filtre d’amour aux pouvoirs merveilleux qui permet le dépassement de tous les obstacles. Ceux-ci tels des apparences trompeuses s’évanouissent un à un sous nos pas. Laissant place à un terrain plane, ouvert sur un horizon infini aux brindilles phosphorescentes d’une lumière de craie.
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