Le chef de l’Etat n’aime pas les familiarités et il
le fait savoir. Alors qu’il saluait les collégiens venus assister aux
traditionnelles commémorations du 18-Juin 1940 au mont Valérien
(Hauts-de-Seine), l’un d’entre eux s’est permis d’attirer l’attention du chef
de l’Etat en lui lançant un «Ca va Manu ?!» après avoir entonné les
premiers mots de L’Internationale.
« Non, non », a répondu Emmanuel Macron au
collégien. Visiblement déstabilisé, ce dernier s’est immédiatement excusé par
un « désolé, Monsieur le président ».
Mal lui en prit. Emmanuel Macron n’en est pas resté
là : « Tu es dans une cérémonie officielle, tu te comportes comme il faut.
Tu peux faire l'imbécile mais aujourd'hui, c'est La Marseillaise et Le
Chant des Partisans. Tu m'appelles Monsieur le président de la République,
ou Monsieur.» Avant de conclure, en tapant sur l'épaule du jeune homme : « Tu
fais les choses dans le bon ordre. Si un jour tu veux faire la révolution, tu
apprends d'abord à avoir un diplôme et à te nourrir toi-même, d'accord ? Et à
ce moment là, tu iras donner des leçons aux autres ».
Sa majesté petit Bokassiette à 500 000 boules, ci-devant président des mouches à merde, s'en est une nouvelle fois allé à etaler son petit nombril en se grotesquisant. Un
lycéen en plus, qui a eu la faiblesse de s'excuser, méritait
selon Gros Melon – Petite Quéquette une double ration de je-t-apprends-la vie-à-la-sauce Rothschild.
Le poulbot à l'égo boursoufflé n'aime rien moins que tant faire la lecon aux gueux et
à leurs enfants. Ici il a purement et simplement
annexé l'appel du 18 juin, et revêtu des habits de De Gaulle dans lesquels il flotte. En plus il
joue à Mary Poppers arbitresse des élégances républicaines.
J'aurais été lycéen, c'est pas Salut
Manu que je lui aurais balancé à ce sinistre clown épilé. Je te lui aurais rejoué le sketch des
Inconnus au balcon, Hey Manu t'as de la thune, hey Manu, un RSA par assiette zyva -
ce genre de truc. Le saccageur de la fWance qui s en va faire son kéké à la sauce libération et appel à la résistance, non mais tu t'es vu quand t'as bu à la têtée les lolos de ta Bribri …
Pourquoi ces lycéens se sont-ils pas rué sur ce
terne Gnaffron pour lui jeter à la tronche le mépris dans lequel il les tient – la jeunesse de France
aurait-elle abdiqué sa dignité, ou fut-elle castée castrée par Castener … J'opte sans équivoque
pour la deuxième solution.
« Tu fais les choses dans le bon ordre. Si un jour
tu veux faire la révolution, tu apprends d'abord à avoir un diplôme et à te
nourrir toi-même, d'accord ? ».
Non mais elle se prend pour qui la pupute à Attali ? Tu veux que je te rappelle le titre de ton opuscule publié pour la campagne, hein Guevaraton ? Tes états de service ? Le montant de ce que t'as planqué dans les paradis fiscaux ? Te nourrir toi-meme, non mais le gars qui nous pique 440 000 balles pour entretenir sa grand-mère et qui nous fait la lecon …
Non mais elle se prend pour qui la pupute à Attali ? Tu veux que je te rappelle le titre de ton opuscule publié pour la campagne, hein Guevaraton ? Tes états de service ? Le montant de ce que t'as planqué dans les paradis fiscaux ? Te nourrir toi-meme, non mais le gars qui nous pique 440 000 balles pour entretenir sa grand-mère et qui nous fait la lecon …
Mais gars, t'es pas sorti d'une autre cuisse que de la tienne, au pays des bouffeurs
de cuisses de grenouilles le coup du post-ado qui se prend pour Jupiter c'est deux
baffes et HOP, dans les nuages la tronche pleine de gnons. Comme dans Astérix.
L'ectoplasme des écrans plasma qui fait fondre les
vergétures de Catherine Nay et dégouliner la Barbier de ses Huiles de
flagorneries, pour les gaulois qui avons la gaule pour autre chose que Cheeta née
à Amiens, ce genre de sketches c'est deux baffes
dans la gueule et puni d'Okapi. Alors tu finis ta parade la queue entre les
pattes, t'encaisses ton chèque et tu vas au lit, bouffi.
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