Pour la Fête de la Mougique, Macaron a fait à nos frais transformer la cour de l’Elysée
en une espèce de Café del Mar du pauvre. Sous des coloris mauvasse tout à fait
dans le ton des derniers et mièvres Disney, une espèce de snobinard aux cheveux
blancs et lunettes de soleil – il fait nuit coco, tu peux virer tes carreaux –
fait office de passe-crèpes devant une assistance triée sur le volet de
blaireaux tendant leur X phone comme on tend sa trompe devant le passage du
couple présidentiel. Le tout sous une soupe chill à peu près inécoutable.
Le décor flaire bon la boite à putes de Barbès, sauf
que ca se passe à l’Elysée, une Elysée des arrivistes abonnés à LVMH, une bande
de snobs qui s’empiffrent de petits fours sans débourser un rond et se font
couler un bon cru Rothschild au fond du gosier. A regarder deux minutes de ce
piteux spectacle pour VIP au cerveau creux, comme une envie de bailler. Djack,
le créateur de ladite Festoyerie de la musique et grand fan de techno, a du
mettre son short rose et ses lunettes pailletées et grimper sur les tables pour
nous faire une lapdance version Afida Turner. Et Nicole Belloubet, toute fiérotte
de sa loi sur le secret des affaires enfin adoptée à l’assemblée, jouer les
pompom-girls.
Ce qu’il y a de cocasse avec ces agapes pour gros
melons c’est de voir à quel point ils s’emmerdent à leurs soirées. Clair qu’ils
nous font chier à longueur d’année et nous coutent un bras, mais Dieu que leurs
amusements sont ennuyeux. Pas un qui a l’air d’autre chose que d’avoir avalé
son parapluie, des tronches de photoshopés, des costards super bien repassés
avec des zombies dedans, des daurades liftées sur pattes, des jeunes vieillles
avant l’age. Walking dead rue du Faubourg Saint Honoré.
Allez Hop, dix heures du soir, au lit tout le monde,
Mamie Brigitte a déjà enfilé son bonnet de nuit. Merci de fermer la porte avant
de partir sur la pointe des pieds.
La soi-disant "Fête de la musique" est en réalité la fête païenne du solstice d'été. Et donne lieu à des sacrifices à Baal. Cf. le calendrier des rituels dans "Les treize lignées sataniques" de Robin de Ruiter, Mayra Publications, p. 48. A la date du 21 juin, on lit : "Animal or human sacrifice".
RépondreSupprimerC'est bien ce que je pensais quand j'ai vu une photo de la soirée du Micron avec un travelo cruella d'apparence satanique. Je me suis dit qu'avec le solstice d'été ,il y avait sûrement un petit rituel satanique au programme. ..
Supprimerarticle pur jus Christophe Cros Houplon, un vrai régal, et tellement vrai, les friqués vide de tout et meme de cerveau, iune parade lamentable, de tafioles, 'je dis tafioles car ils n'ont aucun honneur ni tenue, je n'ai rien contre les gays qui ont de la tenue, l'honneur et descents) là , c'est juste un spectacle honteux, grotesque aux frais des Français/ses , la continuité du gachis de l'argent qui ne lui appartient pas. merci Chritophe/Ph
RépondreSupprimerMerci pour cet article Majestueux
RépondreSupprimerEt l'after-party, vous y avez pensé ? Micron a dû se faire enfiler par les travelos négros qui posaient sagement sur la photo, avec Brizitte les yeux brillants d'avoir organisé cet encanaillement et de tenir la chandelle... Dieu quelle sale orgie !
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