Londres
veut donner pouvoir à l'OIAC de désigner les responsables d'attaques chimiques
avec en ligne de mire l'affaire Skripal et la Syrie. La Russie s'inquiète d'un
dévoiement de l'organisation, qui menacerait les fondements de l'ONU.
Face
aux preuves brandies par les russes que ces cons de britishs n’ont pas daigné voir – elles sont
pourtant exposées, l’OIAC sur place avait
estimé inutile de les
examiner … -, la diplomatie des rosbifs s’enlise une nouvelle
fois dans le ridicule le plus absolu. Deux soufflantes, une sur Skripal, une
autre sur la Ghouta, et ce niais de Boris Johnson, le pire Ministre des
Affaires Etrangères
que le Royaume Uni ait jamais eu, recommence ses manigances à deux balles. En
plein jour tant qu’à faire ! Donc on
soudoie l’organisation
directement à la racine, voilà l’astuce du mec. Benny
Hill is alive !
Teresa
May s’est ridiculisée à l’ONU, ses
pleurnicheries ont eu pour effets des frappes ratées sur des cibles bidon
et un pseudo espion russe – en fait espion britannique – actuellement en
parfaite santé, avec des
accusations qui lui sont revenues en boomerang.
Quand
tu perds, un peu de fair-play et d’intelligence
consiste, peut être pas à le reconnaître, mais à habilement changer
de sujet. Les britishs eux en remettent une couche comme des cancres qui
refusent la note de 3 sur 20 de la maitresse. Il n y a qu’à voir les succès de la ligne Brexit,
la Reine a fini par signer le décret face à la montée réactionnaire des
Lords. May sur ce dossier a échoué sur toute la ligne.
Payée pour mettre en
place le vote de ses concitoyens, cette cruche ne doit son salut – provisoire,
parce que le 29 mars 2019 c’est pas encore
aujourd’hui et avec des
arsouilles du style Junker ou Soros on peut s’attendre à tout – qu’à la reine d
Angleterre.
J’ai envers le peuple
anglais un immense respect. Mais constate à quel point depuis
Tony Blair leurs gouvernements successifs ont fait de ce grand pays extrêmement
doué en diplomatie aux siècles passés – quoique fort roués - une armée de nains. Aussi
mauvais voire pires que les français – c’est dire …
Face
à de pareils débutants mauvais
joueurs et mauvais perdants, que faire sinon les mettre au coin, éclater de rire et
passer à autre chose.
Franchement le coup de Boris, mais quel pauvre homme ! Serguei et Maria
vont se faire un plaisir de lui répondre en des termes bien sentis. Pête
un coup Boris !
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