Le Président italien ayant refusé au
Ministere des Finances un eurosceptique, c'est tout le gouvernement de Giuseppe
Conte, résultat de la ligue des partis ayant remporté les dernières
élections, qui se retrouve en situation de démissionner. Faisant place nette à
l'atout que conservait dans la main ce grand démocrate de President, un ancien
du FMI bien dans la ligne bruxelloise, Carlo Cotarelli.
Evidemment, Emmanuel Macron, l'Elu aux
10% du corps électoral francais selon les chiffres officiels du 1er tour de
2017, a salué ce sursaut démocratique et l'esprit de responsabilité de cet édile
hors-sol.
Nouveau camouflet aux urnes, nouveau
crachat dans la face des peuples d'Europe. L'Union Européenne n'en est pas à
son premier forfait. Déjà VGE, rédacteur en chef de la Constitution anti-démocratique,
se refusait à l'idée de demander l'avis à ces peuples pas assez subtils pour
comprendre son texte. Lorsque celui-ci fut rejeté par les francais, un petit
tour de passe-passe violant la lettre et l'esprit de la Constitution Francaise
nous fit ravaler ce que nous avions recraché. Depuis le Brexit, nos amis
anglais n'en peuvent plus de voir la concrétisation effective de leur vote
reculer du fait du chantage de Junker et de ses sbires. Coupables de
nationalisme aigu, les hongrois n'en finissent pas d'être
semaine apres semaine menacés de sanctions.
Et maintenant l'Italie…
On le notera, nos marionnettistes de
Bruxelles agissent sans complexe aucun à visage découvert. Le diabolique piège
constitutionnel ainsi que les enchevètrements
financiers clouant au sol toute tentative de rebellion leur assurent une
parfaite impunité, ainsi que la longévité de leurs mandats. Ces gens-là, élus
par personne, n'ont de comptes à rendre qu'à leurs financeurs, lesquels
demeurent en coulisses, pour certains outre-atlantique.
Ce sera donc Monsieur Ciseaux du FMI.
Soit la ligne exactement opposée à celle pour laquelle ont voté les italiens.
Ca sera bien sur encensé par les médias
qui feront croire quelques jours à une crise avant de nous emmener nous promener
sur d'autres sentiers. Ca créera évidemment, plus que de l'exaspération et de
la colère,
des bulletins nationalistes, lesquels échoueront systématiquement à gouverner,
soit légalement, soit illégalement. Et rien ne changera, et nos puissants seront
contents …
Ce qui confirme Christophe que ça ne sert à rien d aller bosser pour des clopinettes et que nous n avons pas à obéir à ces raclures mais agir.
RépondreSupprimerNous sommes bien trop "civilisés" et peureux en Occident alors que notre temps de vie est pourtant limité.Je reconnais avoir du mal à comprendre la soumission de nombre de gens à des individus qui n ont aucun droit sur eux.