Vous êtes dorénavant plus de mille à
suivre depuis +50 pays la saga SUNDANCE via ce BLOG. Auxquels s’ajoutent les
3500 et quelques acheteurs des volumes 1 et 2.
Concernant ce blog, les meilleurs
scores concernent presque tous SUNDANCE : ce qui me fait plus que plaisir,
cette œuvre étant de loin ce que j’ai écrit de plus important (et ce n’est pas
fini…).
Il ne vous a (I hope...) pas échappé que Genèse,
comme les trois autres titres des Livres composant la saga, sont tirés de la
Bible. Et que ce roman (comme tant d’autres œuvres littéraires ou cinématographiques,
songez à Dune, a Star Wars, aux Princes d’Ambre DE R.Zelazny à
certaines BD de Moebius, à certains films de David Lynch ou d’Innaritu) est une
parabole ou une adaptation romanesque contemporaine en forme d'hommage au Livre Sacré, tout autant qu'un "roman de l'epoque".
Sans rentrer dans des considérations
ayant trait à une Foi (en une transcendance, quelle qu’elle soit) que vous
pouvez ne point partager (ce qui de fait limite la compréhension subtile tant
de Sundance que des autres œuvres pré citées), souvenez-vous que la Genèse (l’originelle)
commence ainsi :
« Au
commencement, Dieu créa la Ciel et la Terre.
Or la Terre était vague et vide, les ténèbres couvraient l’abîme, l’esprit de Dieu planait sur les eaux.
Dieu dit : « Que la lumière soit », et la lumière fut.
Dieu vit que la lumière était bonne, et Dieu sépara la lumière et les ténèbres.
Dieu appela la lumière « jour » et les ténèbres « nuit ».
Il y eut un soir et il y eut un matin : premier jour »
Or la Terre était vague et vide, les ténèbres couvraient l’abîme, l’esprit de Dieu planait sur les eaux.
Dieu dit : « Que la lumière soit », et la lumière fut.
Dieu vit que la lumière était bonne, et Dieu sépara la lumière et les ténèbres.
Dieu appela la lumière « jour » et les ténèbres « nuit ».
Il y eut un soir et il y eut un matin : premier jour »
C’est également par ces lignes que démarre
le roman (juste avant le prologue).
Ainsi donc les 46 premiers chapitres
(ceux que vous avez lus) correspondent (trauma inclus) aux ténèbres : ouf,
une fois dissipées nait donc la lumière et donc le jour et donc le bonheur pur. Sans spoiler la suite
tant il est évident que le sens va dans cette direction, suivront donc près de
500 pages lumineuses (la fin du 1 et les 4/5eme du 2), avec, comme dans La
Bible, un Paradis sur Terre, construit chapitre apres chapitre par un demiurge. Puis dans sa toute fin (et pour des motifs autres
que manger une pomme) sa destruction (violente, forcément, pour ne pas dire davantage). Et le renvoi des pécheurs vers un Exode.
La construction est simple :
pour les volumes impairs, une dominante sombre et une fin heureuse, pour les
pairs, l’inverse. Sauf… mais chut. Les impairs sont dédiés à des hommes (mon père
pour le 1), les impairs à des femmes (Celia pour le 2). Les impairs sont signes
de mon nom de famille paternel, les pairs de mon nom de famille maternel.
Etant à mi-chemin de l’écriture du 3e
(Exode – vol.1) que j’achèverai cet été pour publication le 5 novembre prochain
(un an jour pour jour après mon propre « Exode » donc…), je vous
invite donc, si vous le souhaitez, à faire quand bon vous semble, acquisition
des deux premiers : Il vous reste un peu moins de 600 pages sur 820 à découvrir.
Le
Vol.1 peut se lire avec en bande sonore la playlist :
Le
Vol.2 peut se lire avec en bande sonore la playlist :
Chaque volume coute 15 euros, dont
3.91 de marge pour moi. Avec cette somme, compte tenu du cout de la vie ici, je
vis ½ jour (he oui !)
A compter de la publication du 3e,
les 2 premiers seront réédités en même temps dans une version dite « de luxe »
(donc un peu plus cher, mais sans exagérer/marge) avec de nouvelles couvertures
créées par Néo, une autre pagination, un papier de meilleur qualité etc… La fin
du 1er sera publiée sur le blog courant décembre et les 2/3 du 2e
en juin 2018.
Les volumes 4 à 8 sortiront tous le
5 novembre jusqu’en 2022, si Dieu me prête vie.
Salutations et merci pour vos
lectures, en espérant que cette histoire vous plaise, voire vous captive et surtout
vous émeuve. Vous le savez : un bouquin est un miroir...
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