A la sortie
de L’inceste, le 1er crachat de Dame Angot sur papier, je compris aussitôt
que le Paris Germanopratin venait en un seul opuscule de déclarer la guerre à
la littérature française. Cette chose mal écrite et hurlée par une
scribouillarde possédée avait tout d’un palimpseste ou d’un carnet d’asile. Pourtant
il fut aussitôt porté au pinacle par toute la presse littéraire ou presque, dans
un concert éminemment suspect.
Je songeai
alors A Marguerite Duras, dont la folle piquée se réclamait : qu’en pensait
donc Margotton ? Sirotant à l’époque avec son Yann de mauvaises piquettes
sur les plages de Normandie, l’immortelle auteur de Barrage contre le Pacifique
s’en cognait.
Nous qui lui
survécurent dument souffrir, pire que sa piquette, la piquée. Près de 25 ans
que ça dure : la foldingue des plateaux pisse copie comme d’autres éructent,
et pas un de ses ouvrages ne fait autre chose que cracher dans la soupe qui la
nourrit, et notamment sur tous ses proches. Comme hystérique elle se pose, mais
comme romancière, nada, aucune imagination, que de la malveillance et du rapt
contre les pauvres êtres dont elle instrumentalise la présence dans sa vie pour
ensuite les occire dans ses torchons. C’est devenu ça, la littérature selon les
puissants : Voici Gala trash avec un style qui tient de la coulée vaginale
putride.
On sort
parfois la dame gauche bobo sur les tréteaux haranguer le téléspectateur
assoupi et lui crever les tympans (et les yeux !) d’interminables et minables
petages de câbles. Il fallut la Virago Angot pour réussir, pendant la campagne
2017, à me rendre Fillon sympathique, tant sa diatribe indigne à son égard le
fit passer pour le seul être censé sur le plateau.
Qu’on puisse
à ce point imposer cette absolue nullité toxique et mettre ses livres ailleurs
qu’au pilon est affaire parisienne, de certains arrondissements seulement. Peu
lue avec le temps tant elle insupporte, la fumiste scribouillarde peine à
aligner trois mots, et la lire plus de trois minutes ne m’est possible qu’avec
une forte dose de tranquillisants. Il y a tant et tant d’écrivains de talent
inconnus au bataillon en France que lui accorder ne serait-ce que cinq minutes
de son temps en ouvrant au hasard la moindre de ses œuvres sur un étal de
boucherie est peine avant tout – et peine perdue.
bouh complètement lanlan à enfermer
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