Les années 70 nous avaient offert
les deux petits vieux du Muppet, sortes de couple de gâteux ricaneurs au
balcon, planqués de chez planqués et n’aimant rien, mais reconnaissons-le au
demeurant fort drôles et affichant leur bouille sans complexe.
Pas loin de 50 ans plus tard, ces deux-là ont enfanté une
multitude d’enfants dégénérés, anonymes ceux-là, qui sur les forums, cachés derrière des pseudos « pseudo drôle » pullulent, infectent,
invectivent, polluent, chassent en petites meutes, s’auto promeuvent, se font
par les modérateurs dégager du fait d’insultes et de diffamations répétées, réapparaissent
tel des nouveaux nés sous un nouvel identifiant tout aussi creux que le précédent…
Et reprennent leur tambouille, inlassablement.
Ces bruyants rejetons, faire-valoirs
sans le savoir de ceux qu’ils maculent de leurs quotidiens crachats, n’écrivent
rien, ne publient rien, ne créent rien. Incapables de détruire ils se
contentent tels des laquais planqués du système de salir, ce qui a le mérite de
créer des emplois de nettoyeurs. Sous leur mordant de petits roquets, ils
demeurent néanmoins à leur esprit défendant comme les jumeaux de ces bisounours
qu’ils exècrent, dont ils épousent très exactement la logique à front renversé.
Par leur constance et leur prévisibilité quelque peu maladive, les trolls, par
le buzz qu’ils génèrent, mettent leurs exécrés en lumière et ne peuvent tout
bonnement pas s’en empêcher.
Vers solitaires, ces micro-parasites
sans réel pouvoir de nuisance sont fats au point de se prétendre aptes à véroler
des organismes ayant développé de longue durée d’excellents anticorps. C’est
que ceux-ci sont leur raison d’être, sans cibles, sans personne sur le devant de
la scène, comment se mettraient-ils en avant, ces septièmes couteaux à la lame usée ?
Equivalents contemporains des occupants de la Pension Vauquer de Balzac, ces infantiles zélateurs malgré eux n’arrivent pas à la cheville de leur maitre Rastignac. Leurs quenottes acérées ne peuvent guère plus que macérer incisives en avant des bouts de carottes précuites. Se croyant drôles, féroces, cyniques, méchants, teignes et galeux, ces petits lapins-crétins durs-acell et mous d’ailleurs donnent à voir d’eux-mêmes, sous le masque du rebelle, leur propre vacuité. Et parsèment la toile de petites crottes recouvertes de bave. Inaptes à se regarder en effet miroir comme ils prétendent le faire avec tout un chacun, ils ne peuvent tout bonnement pas concevoir ce que leurs fils d’actu donnent à voir clairement de leur être. Le masque avec les ans s’étant trop enfoncé dans leur peau, ces pourfendeurs des arrière-cuisines sont devenus quelque peu borgnes.
Equivalents contemporains des occupants de la Pension Vauquer de Balzac, ces infantiles zélateurs malgré eux n’arrivent pas à la cheville de leur maitre Rastignac. Leurs quenottes acérées ne peuvent guère plus que macérer incisives en avant des bouts de carottes précuites. Se croyant drôles, féroces, cyniques, méchants, teignes et galeux, ces petits lapins-crétins durs-acell et mous d’ailleurs donnent à voir d’eux-mêmes, sous le masque du rebelle, leur propre vacuité. Et parsèment la toile de petites crottes recouvertes de bave. Inaptes à se regarder en effet miroir comme ils prétendent le faire avec tout un chacun, ils ne peuvent tout bonnement pas concevoir ce que leurs fils d’actu donnent à voir clairement de leur être. Le masque avec les ans s’étant trop enfoncé dans leur peau, ces pourfendeurs des arrière-cuisines sont devenus quelque peu borgnes.
Je les aime bien mes trolls, je les
asticote, les chasse, les vois revenir, les laisse ensuite faire, et me
distrais de voir d’autres, véritables commentateurs non masqués ceux-là, les
tacler avec précision. Aucun Baygon fut-il rouge ou vert ne viendra à bout d’eux,
ce qui est rassurant, tant nous qui faisons avons notamment besoin d’eux, de
leur addiction, de leurs risibles acharnements, de leurs insultes, de leurs
crachats.
C’est un honneur d’être une cible, écrivait
Rostand au travers de la bouche de Cyrano. Oui mes chéris, restez avec nous,
continuez comme vous le faites : vous, parasites sans poison, êtes sans
que vous le sachiez aussi sur scène. Et (navré de vous le dire) : loin d’avoir
la capacité à décrocher LE rôle, vous, anachroniques, demeurerez les figurants
d’une pièce dont le script est écrit à l’avance par d’autres, et dont vous ne
saurez rien.
Excellente petite mise au point, au "poing", sans violence, mais claire - voyance, merci Christophe, ce cap franchit, il nous reste l'oblongue mémoire tutélaire de ce "descriptif : « c'est un roc ! ... c'est un pic... c'est un cap !
RépondreSupprimerQue dis-je, c'est un cap ? ... c'est une péninsule ! ».
Voilà chers Trolls du WC-NET :
- "Voilà ce qu'à peu près, mon cher, vous m'auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d'esprit :
Mais d'esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n'en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n'avez que les trois qui forment le mot : sot !"
Saluons notre ami Christophe pour le courage de sa répartie des antipodes, au loin, entre la mer et la terre, sur les routes et les chemins croûteux des Amériques solidaires...
CHRISTOPHE
RépondreSupprimerQuelle force avez-vous ?Je suis admiratif de votre capacité d'écrire si vite et si bien . Concernant les GUS GUS de TROLLS , vous ne pouvez pas mettre dans le même panier notre ami le SOLDAT DU CHRIST . Mais c'est un super TOP TROLL.
Réflexion sur les TROLLS. Cet esprit critique qui sectionne la société et pire fractionne les gens d'un même courant d'idées est notre héritage Gaulois. La force de visée sur un axe constructif est l'Héritage Franc . Oui les rois de France sont des Francs , comme toute la noblesse française , les gallos romains pour ne pas dire les gaulois sont les asservis , la piétaille.
Les gênes sont là et irréfutables.Les Vercingétorix ne sont pas légion et quand ils existent il faut les démonter sans trop savoir pourquoi enfin presque sinon extérioriser sa jalousie .La première règle du bonheur et de ne pas regarder dans l'assiette du voisin .
Toujours d'actualité , réponse très juste encore aujourd'hui , et nous ne nous lassons pas de mettre à terre ces trolls , ils nous divertissent un moment mais nous les débusquons et les faisons pliés . Ils déblatèrent mais font en même temps monter la côte de ceux qu'ils invectivent , quelle déception pour eux , quelle joie pour nous
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